lundi 4 octobre 2010

La prostitution sentimentale.


Je me cache.J'ai honte.Le masculin me malmène depuis que j'ai des seins.
Je n'ai nullement envie de débattre de la connerie des hommes.Ni de celle des femmes d'ailleurs.Misogynie oblige.
Ça change quoi de sourire,ce n'est qu'un étirement faciale.Et pleurer,c'est quoi?De simples secrétions de l'oeil.Ne vous méprenez pas.Ne fredonnez pas l'idéalisme.Toutes ces balivernes sont chimiques.De simples réactions d'un persécuteur de corps aux sévices d'un aussi insidieux extérieur.Vous n'avez qu'à dire que j'ai reçu un amas de poussière en pleine gueule,et on sera quittes.
Évitez les spectacles des vies mornes et sans nul intérêt ,vous n'en sortirez pas indemnes.

"Je te somme de disparaître"
"Si les mots me quittent,qu'en adviendra-t-il de moi?"

J'aime les hommes.Non,ce n'est pas une affirmation homophobe.C'est un humble amour des plus chroniques.

Dans un pays où le mâle est un piètre enfant espiègle,peu de femmes ont l'instinct maternel.

Dégoût.Jour I.

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